https://fr.wikipedia.org/wiki/Lumbricina
» Leur biomasse est de 1 à 3 tonnes par hectare dans les prairies tempérées. Au total sur terre, ils représentent un poids vingt fois supérieur à celui des hommes6. Leur diversité taxonomique est très importante (3 627 espèces lombriciennes recensées en 1994 ; 700 genres et 7 000 espèces documentées en 20157). «
Par Quercusrobur de en.wikipedia.org, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=20756686
Par KDS4444 — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=46856696
Le clitellum
https://fr.wikipedia.org/wiki/Clitellum
»
Le clitellum a plusieurs fonctions connues :
- il permet à deux vers de terre (organismes hermaphrodites) de se maintenir l’un l’autre durant le phénomène de copulation.
- il sécrète les cocons muqueux dans lesquels les Clitellates déposent leurs œufs6.
Ce cocon permet d’éviter la déshydratation, protège les œufs des bactéries et champignons du sol (ou du sédiment dans le cas des quelques espèces aquatiques ou semi-aquatiques, du genre Glyphidrilus ou en Europe : Criodrilus lacuum) et apporte des substances nutritives essentielles à l’embryon.
Le clitellum est donc une structure essentielle de l’adaptation des Clitellates au milieu terrestre, mais il existe aussi chez les espèces semi-aquatiques et aquatiques (avec l’apparition sur le clitellum chez certaines espèces de petits crochets lors de la période d’activité sexuelle, qui permettent aux vers de mieux résister au courant lors de la copulation) . »
Merci à Wikipedia qui m’apprend ce que je veux savoir depuis que je vais à la pêche dans le Pays de Saint-Yrieix. Je vous parle d’un temps où il y avait des goujons dans la Loue.