3 réponses à “« Passé soixante ans, quand on se réveille sans avoir mal quelque part, c’est qu’on est mort. » (Bernard Blier)”
Donc ce matin, je vis toujours. Il y a pire !
Ce qui est encore plus étonnant c’est qu’on est obligé de se poser la question « où ? » car les douleurs ne sont jamais au même endroit.
Vous verrez après 80 ans !
Maintenant je sais où je vais les avoir ! quand je scie, que je répare la chasse des toilettes, etc… ou au dos quand je fais le jardin sans parler des cailloux (il suffit de ne pas boire mes 3 litres d’eau et j’ai un rappel automatique).
Donc ce matin, je vis toujours. Il y a pire !
Ce qui est encore plus étonnant c’est qu’on est obligé de se poser la question « où ? » car les douleurs ne sont jamais au même endroit.
Vous verrez après 80 ans !
Maintenant je sais où je vais les avoir ! quand je scie, que je répare la chasse des toilettes, etc… ou au dos quand je fais le jardin sans parler des cailloux (il suffit de ne pas boire mes 3 litres d’eau et j’ai un rappel automatique).