L’affaire Lafarge (pas celle du cimentier !), Histoire d’un crime judiciaire

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L’auteur montre que Lafarge est mort de la fièvre thyphoïde. Plus tard, ce sera l’affaire Marie Besnard (morte en 1980). Toujours l’arsenic en cause. Arsenic qu’on trouve « en abondance » dans la région limousine car il fait bon ménage avec le minerai d’or.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Besnard

Ces deux livres qui se trouvent sur les rayons de la Médiathèque de St-Yrieix m’ont fait découvrir le docteur Ph. Decourt et ses écrits d’histoire des sciences, plutôt « remuants »

http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1991x025x002/HSMx1991x025x002x0097.pdf

http://www.persee.fr/doc/pharm_0035-2349_1974_num_62_223_7389_t1_0284_0000_2

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Lafarge

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« Coup monté », « erreur judiciaire », « crime parfait » … « L’affaire Lafarge » restera pour l’opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires, à l’image de « l’affaire Dreyfus » ou de « l’affaire du collier de la reine ».

Écrivains, journalistes, juristes s’intéressent encore aujourd’hui à cette mort suspecte. En 1938, « L’affaire Lafarge » a même été adaptée au cinéma par le réalisateur Pierre Chenal.

Une enquête menée en 1978, aurait démontré que Charles Lafarge serait en réalité mort de la fièvre typhoïde, dont le bacille était à l’époque mal identifié23,24.

La généalogiste Chantal Sobieniak, en faisant des recherches en 2010 sur une affaire de justice à Brive, découvre dans un sac de procédure 52 documents concernant un procès jugé en 1818 25 et mettant en cause la famille Lafarge et particulièrement la belle-mère, Adélaïde Pontier, ce qui a donné lieu à son ouvrage Rebondissements dans l’affaire Lafarge. »

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