» La colonie de vacances  » de l’Ile d’Aix

https://s.iha.com/00151214706/Ile-aix-Vue-aerienne-sur-l-ile-d-aix-et-le-fort-de-la-rade.jpeg

source : https://www.iha.fr/locations-vacances-ile-aix/138/

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele-d’Aix

Tiens ! Wikipedia à l’entrée Ile d’Aix, ne dit pas que Ben Bella fut incarcéré au fort Liédot avant qu’il ne redevienne une colo des armées.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ahmed_Ben_Bella

 » Il est arrêté une deuxième fois le lorsque l’avion civil marocain qui le conduisait du Maroc à la Tunisie en compagnie de Mohamed Boudiaf, Hocine Aït Ahmed, Mohamed Khider et Mostefa Lacheraf est détourné par les forces armées françaises »

« Libéré en 1962 après 6 ans d’emprisonnement et de résidence surveillée en France d’abord à la prison de la Santé, ensuite au fort Liédot sur l’île d’Aix … »

« 15/07/1815 : Napoléon Ier se rend aux Anglais à l’île d’Aix. « 

Heureusement que je connaissais la chanson qu’on chantait dans la cour des casernes à Saint-Yrieix (l’école primaire) :

Napoléon est mort à Sainte Hélène,
Son fils Léon lui a crevé l’bidon.
On l’a r’trouvé, assis sur une baleine,
En train d’sucer les fils de son caleçon

Les faiqueniouses couraient dans les cours des écoles dans les années 50 ! Les écoliers faisaient de la falsification de l’histoire. Les écoliers anglais n’auraient jamais osé chanter de telles lyrics. Mais on en voulait au Anglais, on chantait aussi

C’est la reine d’Angleterre qui a fait caca par terre

Il faut le nettoyer avec une pomme de terre
C’est la reine d’Italie qui a fait pipi au lit

il faut le nettoyer avec des spaghettis..

C’est  qu’on était à l’école de la République à St-Yrieix !

Je ne confondais pas l’Île d’Aix et Sainte-Hélène

et j’aimais bien le nom du bateau Le Bellerophon.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bell%C3%A9rophon

https://fr.wikipedia.org/wiki/HMS_Bellerophon_(1786)

https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/haute-vienne/limoges/avec-l-association-la-colonie-de-vacances-de-limoges-des-familles-et-des-enfants-peuvent-decouvrir-l-ile-d-aix-et-l-ocean-depuis-80-ans-783757.html

« Fondée en 1911 par un curé de Limoges, l’association « la colonie de vacances » a créé un centre de vacances sur l’Ile d’Aix dès 1936.
Depuis, des milliers d’enfants et de familles modestes y ont découvert l’odeur de l’iode, la couleur de l’océan et le sens du mot vacances. »

 

« Très tôt le baron amoureux de l’Empire rencontre Élie Fabius. En 1911 déjà, il achète un dessin représentant la tête de Napoléon. Dans les décennies qui suivent il dépense des sommes remarquables plus de 8 000 francs d’époque pour la seule année 1937 et enrichir son musée napoléonien acheté en 1926: objets divers, statuettes de l’Empereur en céramique, 43 pipes et des assiettes à son effigie, une pendule dorée séditieuse « Napoléon en Sylla », un flambeau en bronze orné d’un aigle avec plaque en lithophanie le représentant, deux lampes à huile provenant de la chapelle ardente de La Belle Poule (1834) en 1840, etc. Élie fera quelques dons au musée3. »

Gabriel-Louis Pringué l’évoque ainsi : « Le baron fut tout sa vie un mécène, un artiste, un hôte délicat et affectueux, dont le physique aristocratique et la conversation spirituelle charmait »4.

Le baron Gourgaud fut maire de l’île d’Aix de 1932 à 1937, et jusqu’à sa mort en 1944 membre assidu très actif de l’Association des Charentais de Paris « La Cagouille ».

Comme moniteur, « mono », j’y ai découvert en arrivant sur la vedette « Baron Gourgaud »,l es colonies de vacances, le « benedicite », les « cas sociaux » et une île, ma première île avec ses vélo-solex sans voiture, ses musées, ses charretous, sa chemise de l’impératrice, l’Afrique avec le musée Gourgaud, ses forts (Liédot, Enet, Boyard, de l’Aiguille, de la Rade), son phare à deux tours, ses colos, ses anguilles maousses dans les fossés des remparts, ses lézards ocellés, le dromadaire d’Arabie de Bonaparte, son père Fayaud, bien avant le Père Fouras de la télé, etc.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Napol%C3%A9on_Gourgaud_(1881-1944)

« « Très tôt le baron amoureux de l’Empire rencontre Élie Fabius. En 1911 déjà, il achète un dessin représentant la tête de Napoléon. Dans les décennies qui suivent il dépense des sommes remarquables plus de 8 000 francs d’époque pour la seule année 1937 et enrichir son musée napoléonien acheté en 1926: objets divers, statuettes de l’Empereur en céramique, 43 pipes et des assiettes à son effigie, une pendule dorée séditieuse « Napoléon en Sylla », un flambeau en bronze orné d’un aigle avec plaque en lithophanie le représentant, deux lampes à huile provenant de la chapelle ardente de La Belle Poule (1834) en 1840, etc. Élie fera quelques dons au musée3. »

Gabriel-Louis Pringué l’évoque ainsi : « Le baron fut tout sa vie un mécène, un artiste, un hôte délicat et affectueux, dont le physique aristocratique et la conversation spirituelle charmait »4.

Le baron Gourgaud fut maire de l’île d’Aix de 1932 à 1937, et jusqu’à sa mort en 1944 membre assidu très actif de l’Association des Charentais de Paris « La Cagouille ». »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Fabius

La colo était située dans une caserne napoléonienne. la caserne Montalembert.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_de_Montalembert

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc-René_de_Montalembert_(1714-1800)

Marc-René_de_Montalembert_(1714-1800

 » Il est le créateur d’un nouveau système de fortifications dont le succès fut incontestablement prouvé aux sièges de Hanovre et de Brunswick, et utilisé par le gouvernement. Mais ce système changeait une partie des idées reçues et, en forçant le génie militaire à sortir du terre-à-terre et de la routine, il souleva l’opposition et les attaques très vives d’un grand nombre d’adversaires (qu’il eut peut-être le tort d’aigrir encore par des réponses imprimées, dans lesquelles il avait trop raison dans le fond pour en adoucir la forme). Cette polémique et cette opposition causèrent au marquis de Montalembert des dégoûts amers.

Entre 1776 et 1794, il publie les onze volumes de son ouvrage capital,  » la fortification perpendiculaire, ou l’art défensif supérieur à l’art offensif « .

Montalembert milite pour des fortifications dotées d’une grande puissance de feu grâce à l’emploi de canons plus puissants qu’à l’époque de Vauban. Il remet en question le tracé bastionné, lui préférant des forts dotés d’un tracé polygonal, dont les fossés sont toujours protégés par des caponnières, mais dotés de tours à canons. Ses forts sont, de plus, dépourvus d’ouvrages de défense avancée. Prenant en compte les progrès de l’artillerie, Montalembert recommande d’éloigner la zone des combats de l’enceinte des places fortes. Les forts distants d’une dizaine de kilomètres font front à l’ennemi et se flanquent mutuellement. »

Et je découvre qu’il a possédé une forge à Javerlhac

 » Il est élu associé libre à l’Académie des sciences en 1747. En 1750 il rachète un moulin à papier sur la Touvre à Ruelle, qu’il convertit en forge à canons. Avec cette forge, celle de Forgeneuve à Javerlhac en Périgord et d’autres forges qu’il prend à ferme, il propose de fournir à la marine les canons de fonte de fer dont elle avait besoin. Sa proposition est acceptée le 17 septembre 1750 et la forge devient fonderie à canons pour la marine du roi en 1753″

https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Montalembert

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