Un appel d’Hervé This, le monsieur qui met la science au service du goût et de la vie sociale.
source : Wikipedia
A noter que la feuille peut être plus foncée tirant vers le marron en lieu sec.
« Agnès Verboom écrit, dans La Table, guide complet de la maîtresse de maison, Paris-Bruxelles, Administration du Moniteur des dames et des demoiselles (sd), p. 82 : « Marjolaine. Plante aromatique qu’on emploie assez fréquemment dans les pays du midi, comme assaisonnement des différents mets. Elle facilite, dit-on la digestion des aliments flatulents, tels que les haricots, les pois et les fèves. »
Là, l’expérience est bien difficile à faire : il faudrait manger des aliments flatulents à répétition, et intercaler de la marjolaine ! Qui s’y colle (quantitativement) ? »
En attendant, j’ai un truc. Je mange du cassoulet, etc. quand je suis à Bourdoux, seul. Certes j’ai un voisin, mais il est sourd.
Le Limousin/Périgord c’est la liberté !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Origanum_majorana
»
Cette herbe s’emploie sous forme de feuilles fraîches ou séchées, seule ou en mélange avec d’autres herbes, pour aromatiser de nombreuses préparations culinaires. Son arôme plus délicat que celui de l’origan la rapproche du thym. Il convient de l’ajouter en fin de préparation, un temps de cuisson trop long risquant de faire disparaître tout son arôme.
L’essence obtenue par distillation des fleurs est antiseptique. Elle est surtout utilisée pour des fumigations.
On qualifie parfois à tort de marjolaine sauvage une autre Lamiaceae, Clinopodium nepeta, le calament nepeta (a nepita en langue corse) utilisé dans de nombreuses spécialités culinaires de l’île de beauté. »
En un lieu propice ça pousse comme du chiendent.